C'est un autre Diazaka qu'on vu ce weekend à Rufisque. L'artiste à bout de nerfs, a laissé échapper des mots aigres-doux. Ce, suite à une « provocation » qui ne dit pas son nom. Comme on le dit en Wolof « Lou yengou louné louko yengueul mokko euppeu doolé », l'artiste a été poussé à agir ainsi selon ses dires et plusieurs témoins de l'incident. Dans une vidéo parvenue à la rédaction de Reference Actu, l'artiste de revenir sur les faits qui l'ont poussé à agitation extrêment.
«Je salue tout le monde. Je fais cette vidéo pour éclairer la lanterne des sénégalais sur ce qui s'est passé la fois dernière. Des faits ont précédé la vidéo. Les sénégalais n'ont vu que la partie visible de l'iceberg. Ca fait un bon bout de temps que mes concitoyens et moi, dénoncent les activités de l'usine turque Bisa Béton qui compromettent la santé des habitants des quartiers Cité Diazaka et Almadina. Depuis lors rien est fait. On se réveille un bon jour et la société, en voulant tenir un point de presse, a réuni des individus qui n'habitent les quartiers pour plaider sa cause. Frustré de cette pratique malsaine et honteuse, j'ai voulu alerter les journalistes mais je me suis contraint à le faire par un nervis qui m' a mis à bout de nerfs. Sur ce, j'ai laissé des mots qui ne m'ont même pas plu à fortiori les sénégalais imbus de valeurs. De ce fait, je demande pardon à tous les sénégalais à qui mes propos ont heurté. ce n'est pas de mon habitude d'agir de la sorte, mais comprenez que j'étais agacé par ces gens. Et mon désir ardent de protéger mes concitoyens que je l'ai fait. Encore une fois de plus, pardon...», dit-il!
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