Il n'a été que ce politicien sénégalais, flâneur et flagorneur à ses temps perdus qui croît fermement à l'ascension sociale par la fabrique d'argumentations mensongères et abjectes, affectées à ses cibles. Focus sur un personnage sulfureux.
Un parcours politique de reniement
Au tout début, Ousseynou Séck alias Akhenaton s'identifiait à la doctrine libérale, wadiste, précisément, le temps d'une forfaiture, racontée jusqu'à présent par certains de ses camarades d'alors. N'ayant pas l'esprit éclectique, pour évoluer dans une formation politique, il s'est transformé au gré de ses intérêts personnels en un libertaire grâce à la magie des réseaux sociaux qui sont de redoutables machines d'inconduites et de dérives. Il s'en approprie et s'embarque dans le bateau avarié des "patriotards", les extrêmes, "insulteurs" qui se réclament vaille que vaille de Pastef au corps défendant des rappels de principes républicains adossés à l'adhésion du parti de Sonko. Perçu par ses amis comme une émoticône consacrée aux insanités dans le réseau bleu. Le Pharaon des insanités n'épargne personne. Il suffit de faire un tour sur sa page Facebook pour constater l'ampleur des bêtises d'un homme répugnant, jadis placide, mu en complotiste et inventeur de galejades, réfractaire à toute société civile et civilisée.
Les amis de Bengelloun en savent quelque chose avec "Diaspora plurielle", réduite en cendres par les ambitions gargantuesque d'Ousseynou Séck qui prétendait malheureusement à la députation en faisant fi les règles du jeu internes à ce mouvement citoyen. Inarrêtable dans sa volonté de créer sa réussite qu'avec des agissements peu honorables et respectables. Il s'est invité dans toutes "les sauces politiques", dans tous les "bouts". Son dernier éclat ignominieux contre Thierno Boccoum en dit long sur la personne.
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